TOTAPEN 1 g, poudre et solution pour préparation injectable (IM), boîte de 1 flacon de poudre ampoule de solvant de 6,50 ml
Retiré du marché le : 03/01/2008
Dernière révision : 14/08/2001
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : BRISTOL-MYERS SQUIBB
Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l'ampicilline. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles, notamment dans leurs manifestations :
- respiratoires,
- ORL et stomatologiques,
- rénales et urogénitales,
- gynécologiques,
- digestives et biliaires,
- méningées,
- septicémiques et endocardiques.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles, notamment dans leurs manifestations :
- respiratoires,
- ORL et stomatologiques,
- rénales et urogénitales,
- gynécologiques,
- digestives et biliaires,
- méningées,
- septicémiques et endocardiques.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
CONTRE-INDIQUE :
- Allergie aux pénicillines.
- Infections par les virus du groupe herpès-virus, notamment la mononucléose infectieuse (risque accru d'accidents cutanés).
DECONSEILLE :
Association déconseillée : allopurinol.
- Allergie aux pénicillines.
- Infections par les virus du groupe herpès-virus, notamment la mononucléose infectieuse (risque accru d'accidents cutanés).
DECONSEILLE :
Association déconseillée : allopurinol.
MISES EN GARDE :
- La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt du traitement.
- Des réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois fatales ont été exceptionnellement observées chez des malades traités par les pénicillines A.
Leur administration nécessite donc un interrogatoire préalable. Devant des antécédents d'allergie typique à ces produits, la contre-indication est formelle.
- Ne pas utiliser par voie IV le solvant destiné à la voie IM.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Tenir compte du risque d'allergie croisée avec les antibiotiques de la famille des céphalosporines.
- Association avec l'allopurinol (risque accru de phénomènes cutanés).
- En cas d'insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie (voir posologie et mode d'administration).
- Pour les formes injectables IM renfermant de l'alcool benzylique : chez le nourrisson de moins de 3 mois, ne pas administrer plus de 30 mg/kg/j d'alcool benzylique (soit 1 ml/kg/j de solvant).
- Grossesse et allaitement : tenir compte du passage transplacentaire et du passage dans le lait maternel.
- La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt du traitement.
- Des réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois fatales ont été exceptionnellement observées chez des malades traités par les pénicillines A.
Leur administration nécessite donc un interrogatoire préalable. Devant des antécédents d'allergie typique à ces produits, la contre-indication est formelle.
- Ne pas utiliser par voie IV le solvant destiné à la voie IM.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Tenir compte du risque d'allergie croisée avec les antibiotiques de la famille des céphalosporines.
- Association avec l'allopurinol (risque accru de phénomènes cutanés).
- En cas d'insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie (voir posologie et mode d'administration).
- Pour les formes injectables IM renfermant de l'alcool benzylique : chez le nourrisson de moins de 3 mois, ne pas administrer plus de 30 mg/kg/j d'alcool benzylique (soit 1 ml/kg/j de solvant).
- Grossesse et allaitement : tenir compte du passage transplacentaire et du passage dans le lait maternel.
Comme avec toutes les pénicillines :
- manifestations allergiques : notamment urticaire, éosinophilie, oedème de Quincke, gêne respiratoire,
exceptionnellement choc anaphylactique ;
- éruptions cutanées maculopapuleuses d'origine allergique ou non ; de rares cas de dermatite exfoliative et d'érythème multiforme ont été rapportés ;
- troubles digestifs : nausées, vomissements, diarrhées, candidose, glossite, stomatite.
D'autres manifestations ont été rapportées plus rarement :
- augmentation modérée et transitoire des transaminases sériques,
- anémie, leucopénie, thrombopénie réversibles,
- néphrite interstitielle aiguë,
- quelques cas d'entérocolites pseudomembraneuses après administration d'ampicilline ont été rapportés.
L'administration de fortes posologies de bêtalactamines, en particulier chez l'insuffisant rénal, peut entraîner des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
- manifestations allergiques : notamment urticaire, éosinophilie, oedème de Quincke, gêne respiratoire,
exceptionnellement choc anaphylactique ;
- éruptions cutanées maculopapuleuses d'origine allergique ou non ; de rares cas de dermatite exfoliative et d'érythème multiforme ont été rapportés ;
- troubles digestifs : nausées, vomissements, diarrhées, candidose, glossite, stomatite.
D'autres manifestations ont été rapportées plus rarement :
- augmentation modérée et transitoire des transaminases sériques,
- anémie, leucopénie, thrombopénie réversibles,
- néphrite interstitielle aiguë,
- quelques cas d'entérocolites pseudomembraneuses après administration d'ampicilline ont été rapportés.
L'administration de fortes posologies de bêtalactamines, en particulier chez l'insuffisant rénal, peut entraîner des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
Tenir compte du passage transplacentaire et du passage dans le lait maternel.
ASSOCIATION DECONSEILLEE :
Allopurinol :
Risque accru de phénomènes cutanés.
EXAMENS PARACLINIQUES :
A de très fortes concentrations, l'ampicilline tend à :
- diminuer les résultats des dosages de la glycémie,
- interférer dans les déterminations du taux de protides totaux du sérum par réaction colorée,
- donner une réaction colorée faussement positive dans les dosages de la glycosurie par la méthode semi-quantitative colorimétrique.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Allopurinol :
Risque accru de phénomènes cutanés.
EXAMENS PARACLINIQUES :
A de très fortes concentrations, l'ampicilline tend à :
- diminuer les résultats des dosages de la glycémie,
- interférer dans les déterminations du taux de protides totaux du sérum par réaction colorée,
- donner une réaction colorée faussement positive dans les dosages de la glycosurie par la méthode semi-quantitative colorimétrique.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Voie IM.
Posologie :
- Adulte :
2 g/24 heures.
- Enfant et nourrisson :
50 mg/kg/24 heures, en 2 injections, matin et soir,
- Chez l'insuffisant rénal :
Clairance à la créatinine : Schéma posologique.
. entre 30 et 60 ml/min : 1 g toutes les 12 heures.
. entre 10 et 30 ml/min : 1 g puis 500 mg toutes les 12 heures.
. inférieure à 10 ml/min : 1 g puis 500 mg toutes les 24 heures.
Dans les infections sévères, cette posologie peut être insuffisante. Il est conseillé de procéder à un contrôle des taux sériques (et éventuellement méningés) du principe actif.
Mode d'administration :
- Ne pas injecter la préparation avec solvant à l'alcool benzylique par voie IV.
- Injections IM profondes : il est possible d'utiliser des seringues en polyéthylène à condition de respecter un usage extemporané strict. Ne pas administrer plus de 30 mg/kg/j d'alcool benzylique chez le nourrisson de moins de 3 mois (soit 1 ml/kg/j de solvant).
Posologie :
- Adulte :
2 g/24 heures.
- Enfant et nourrisson :
50 mg/kg/24 heures, en 2 injections, matin et soir,
- Chez l'insuffisant rénal :
Clairance à la créatinine : Schéma posologique.
. entre 30 et 60 ml/min : 1 g toutes les 12 heures.
. entre 10 et 30 ml/min : 1 g puis 500 mg toutes les 12 heures.
. inférieure à 10 ml/min : 1 g puis 500 mg toutes les 24 heures.
Dans les infections sévères, cette posologie peut être insuffisante. Il est conseillé de procéder à un contrôle des taux sériques (et éventuellement méningés) du principe actif.
Mode d'administration :
- Ne pas injecter la préparation avec solvant à l'alcool benzylique par voie IV.
- Injections IM profondes : il est possible d'utiliser des seringues en polyéthylène à condition de respecter un usage extemporané strict. Ne pas administrer plus de 30 mg/kg/j d'alcool benzylique chez le nourrisson de moins de 3 mois (soit 1 ml/kg/j de solvant).
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
Sans objet.
Activité antibactérienne.
L'ampicilline est un antibiotique de la famille des bêtalactamines, du groupe des pénicillines du type A.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 4 mg/L et R > 16 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Corynebacterium diphtheriae.
. Enterococcus faecalis.
. Erysipelothrix rhusiopathiae.
. Listeria monocytogenes .
. Nocardia asteroïdes (50-80%) .
. Streptococcus.
. Streptococcus pneumoniae (30-70%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Bordetella pertussis.
. Eikenella.
. Escherichia coli (30-50%).
. Haemophilus influenzae (20-35%).
. Haemophilus para-influenzae (10-20%).
. Neisseria gonorrhoeae (0-50%).
. Neisseria meningitidis.
. Pasteurella multocida.
. Proteus mirabilis (10-40%).
. Salmonella (0-40%).
. Shigella (0-30%).
. Streptobacillus moniliformis.
. Vibrio cholerae.
- Anaérobies :
. Actinomyces.
. Clostridium.
. Fusobacterium.
. Peptostreptococcus.
. Porphyromonas.
. Prevotella (60-70%).
. Propionibacterium acnes.
- Autres :
. Bartonella.
. Borrelia.
. Leptospira.
. Treponema.
ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
Aérobies à Gram positif :
Enterococcus faecium (40-80%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Staphylococcus.
- Aérobies à Gram négatif :
. Acinetobacter.
. Alcaligenes.
. Branhamella catarrhalis.
. Citrobacter freundii.
. Citrobacter koseri.
. Campylobacter.
. Enterobacter.
. Klebsiella.
. Legionella.
. Morganella morganii.
. Proteus rettgeri.
. Proteus vulgaris.
. Providencia.
. Pseudomonas.
. Serratia.
. Yersinia enterocolitica.
- Anaérobies :
Bacteroïdes fragilis.
- Autres :
. Chlamydia.
. Coxiella.
. Mycobacterium.
. Mycoplasma.
. Rickettsia.
L'ampicilline est un antibiotique de la famille des bêtalactamines, du groupe des pénicillines du type A.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 4 mg/L et R > 16 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Corynebacterium diphtheriae.
. Enterococcus faecalis.
. Erysipelothrix rhusiopathiae.
. Listeria monocytogenes .
. Nocardia asteroïdes (50-80%) .
. Streptococcus.
. Streptococcus pneumoniae (30-70%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Bordetella pertussis.
. Eikenella.
. Escherichia coli (30-50%).
. Haemophilus influenzae (20-35%).
. Haemophilus para-influenzae (10-20%).
. Neisseria gonorrhoeae (0-50%).
. Neisseria meningitidis.
. Pasteurella multocida.
. Proteus mirabilis (10-40%).
. Salmonella (0-40%).
. Shigella (0-30%).
. Streptobacillus moniliformis.
. Vibrio cholerae.
- Anaérobies :
. Actinomyces.
. Clostridium.
. Fusobacterium.
. Peptostreptococcus.
. Porphyromonas.
. Prevotella (60-70%).
. Propionibacterium acnes.
- Autres :
. Bartonella.
. Borrelia.
. Leptospira.
. Treponema.
ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
Aérobies à Gram positif :
Enterococcus faecium (40-80%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Staphylococcus.
- Aérobies à Gram négatif :
. Acinetobacter.
. Alcaligenes.
. Branhamella catarrhalis.
. Citrobacter freundii.
. Citrobacter koseri.
. Campylobacter.
. Enterobacter.
. Klebsiella.
. Legionella.
. Morganella morganii.
. Proteus rettgeri.
. Proteus vulgaris.
. Providencia.
. Pseudomonas.
. Serratia.
. Yersinia enterocolitica.
- Anaérobies :
Bacteroïdes fragilis.
- Autres :
. Chlamydia.
. Coxiella.
. Mycobacterium.
. Mycoplasma.
. Rickettsia.
ABSORPTION :
- L'absorption digestive de l'ampicilline est de l'ordre de 40% de la dose ingérée, les 60% restant étant éliminés dans les fèces.
- L'absorption intestinale est diminuée par la prise d'aliments.
DISTRIBUTION :
- La concentration sérique maximale pour une dose de 500 mg par voie orale atteint 3 à 4 µg/ml en deux heures.
Les taux sériques sont proportionnels à la dose ingérée.
- Après injection IM de 1 g, le pic sérique est d'environ 15 à 18 µg/ml et est atteint en 1 h environ.
- Après injection IV de 0,50 g, le pic sérique est d'environ 50 µg/ml.
- Chez le sujet dont les fonctions rénales sont normales, la demi-vie plasmatique est de 1 heure en moyenne.
- Diffusion dans la plupart des tissus et milieux biologiques : présence d'antibiotique à taux thérapeutiques constatée dans les sécrétions bronchiques, les sinus, le liquide amniotique, la salive, l'humeur aqueuse, le LCR, les séreuses, l'oreille moyenne.
- L'ampicilline passe dans le lait maternel.
- Taux de liaison aux protéines : de l'ordre de 20%.
BIOTRANSFORMATION :
L'ampicilline n'est pratiquement pas métabolisée dans l'organisme.
EXCRETION :
- L'élimination se fait principalement dans les urines (75%) sous forme active (70 à 80%).
- 20% environ de l'ampicilline sont éliminés dans la bile.
- L'élimination peut être retardée lors de l'administration de probénécide.
- L'absorption digestive de l'ampicilline est de l'ordre de 40% de la dose ingérée, les 60% restant étant éliminés dans les fèces.
- L'absorption intestinale est diminuée par la prise d'aliments.
DISTRIBUTION :
- La concentration sérique maximale pour une dose de 500 mg par voie orale atteint 3 à 4 µg/ml en deux heures.
Les taux sériques sont proportionnels à la dose ingérée.
- Après injection IM de 1 g, le pic sérique est d'environ 15 à 18 µg/ml et est atteint en 1 h environ.
- Après injection IV de 0,50 g, le pic sérique est d'environ 50 µg/ml.
- Chez le sujet dont les fonctions rénales sont normales, la demi-vie plasmatique est de 1 heure en moyenne.
- Diffusion dans la plupart des tissus et milieux biologiques : présence d'antibiotique à taux thérapeutiques constatée dans les sécrétions bronchiques, les sinus, le liquide amniotique, la salive, l'humeur aqueuse, le LCR, les séreuses, l'oreille moyenne.
- L'ampicilline passe dans le lait maternel.
- Taux de liaison aux protéines : de l'ordre de 20%.
BIOTRANSFORMATION :
L'ampicilline n'est pratiquement pas métabolisée dans l'organisme.
EXCRETION :
- L'élimination se fait principalement dans les urines (75%) sous forme active (70 à 80%).
- 20% environ de l'ampicilline sont éliminés dans la bile.
- L'élimination peut être retardée lors de l'administration de probénécide.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Liste I.
Absence d'information dans l'AMM.
Flacon (verre) de 1 g de poudre + ampoule (verre) contenant 6,5 ml de solvant ; boîte de 1.